dimanche 7 mars 2004
Dernière modification : lundi 8 mars 2004
Tribune :
Lucile présidente
Fred tour de parole
Jérôme médiateur
Corine secrétaire
Ordre du jour :
Deux informations :
Anniversaire de Co-Errance
Plateaux tournants
Compte-rendus :
Du comité de suivi avec le ministre
Du KO Social
Un texte soumis à approbation de la CIP sur la CFDT et les femmes (proposés par Michel)
Appel à la manifestation du 6 (Nicolas)
Appel à la manifestation du 13 (Jérôme)
Un compte-rendu du fond de soutien
Annonce des chercheurs
Vote sur la charte de la liste intercom
Infos sur l’expo du collectif 62
L’ordre du jour est approuvé avec le rajouts suivants :
La nécessité de définir une ligne globale sur les prochaines actions
Les rendez-vous du 15 mars à l’invitation du PS et des Verts pour parler Culture
Info sur les Molières
Info sur le nouveau modèle
Info sur l’Interluttant
L’ordre du jour ainsi adapté est amendé.
Première information : l’anniversaire de Co-Errance
Une représentante de Co-Errance rappelle que c’est une coopérative de spectateurs. Ils fêteront leur premier anniversaire à la CIP le samedi 6 mars.
Deuxième information : les plateaux tournants
(Luc)
(Pour plus d’information sur les plateaux tournants, voir sur le site www.le-plateau-tournant.com)
Faut-il basculer certains plateaux à l’automne 2004 ?
Faut-il élargir et donner la parole à plus d’associations ?
Festival de Cannes :
L’idée est lancée d’un appel à toutes les associations de se retrouver à Cannes (du 12 au 23 mai)
Un groupe de travail se réunira à ce sujet à la CIP ce mercredi 10 à 18 heures à la CIP.
Troisième information : l’Interluttant
(Jean-Marie)
Il passe en 4 pages, imprimé, et bichromie.
Tous les textes sont bienvenus, le prochain paraîtra avant la manif du 13 avec un texte de Jean-Marc Adolphe entre autres.
Appel aux commissions à proposer des textes , les envoyer à :
compresse no-log.org
Le bouclage sera le lundi midi de la semaine de parution.
Quatrième information : l’expo du collectif 62
(Max)
Aura lieu du 15 au 30 mars dans la salle du bas
Le collectif 62 propose une participation à la coordination en mettant à disposition leur matériel de graphisme
On rappelle que le procès des 62 aura lieu le 10 mars
Informations diverses :
Le tractage aux ASSEDIC ne s’est pas arrêté depuis le 9 janvier dernier. Il doit se poursuivre.
S’inscrire à l’accueil.
Laurent annonce qu’une réunion du groupe de travail sur le 1er mai européen aura lieu le jeudi 11 mars à la CIP à 19 heures. Juliette précise qu’il y aura des Catalans, des Italiens et des représentants des coordinations de Montpellier et Marseille. Laurent se rendra à Bruxelles fin mars pour les euromarches.
Stéphane donne une info sur les Molières : la cérémonie aura lieu le lundi 19 avril. Prévoir quelque chose. Faut-il former un groupe de travail ? (une discussion s’engage)
Faut-il faire un groupe de travail commun Césars, Victoires de la musique, festival de Cannes, Molières ?
Pierre (de la commission action) précise qu’il faut définir nos objectifs par rapport à ce type de manifestations et donner un mandat clair aux gens des groupes de travail.
Les objectifs doivent être fixés par l’assemblée générale.
Un point sera fait là-dessus à la prochaine AG.
Fred Dannos donne une info sur les essais de présentation du nouveau modèle en une heure.
Un rendez-vous est fixé tous les vendredis à 16 heures à la CIP pour présenter une démonstration sur le nouveau modèle, afin que ceux qui y assistent puissent prendre le relais.
Par Antoine :
Les prochains rendez-vous du comité de suivi servira à se mettre d’accord sur des formules pour chiffrer le nouveau modèle (à la demande de M.Aillagon).
Le SYNDEAC donne déjà des résultats très intéressants de projection du nouveau modèle comparé aux autres modèles (protocole du 26 juin etc...)
Par Samuel :
Apparemment, les objectifs du nouveau modèle sont atteints : il inciterait à une juste déclaration des heures, au contraire du protocole du 26 juin.
L’argument a semblé porter auprès du ministre.
Le ministre (M.Aillagon) a reçu le comité de suivi sur deux jours : le premier jour, les associations et syndicats (SRF, SYNDEAC, coordination, UFISC, CGT).
Ils ont ré-exposé la plate-forme déjà exposée à l’assemblée, M.Aillagon a déclaré qu’il voulait rouvrir le dialogue, quoique les annexes 8 et 10 soient négociées par les partenaires sociaux.
Il s’est étonné que le nouveau modèle propose une annexe unique et ne mentionne rien sur le champ d’application. Après discussion sur ce point, ils ont fini par admettre qu’on changeait de philosophie avec le nouveau modèle.
Le lendemain le ministre a reçu les élus du comité de suivi (députés et sénateurs de tous groupes politiques). Il a eu le même type de discussion que la veille et a été surpris de la cohésion entre les politiques entre eux et entre les syndicats reçus la veille et les politiques. Par exemple, politiques comme syndicats, tous ont soutenu en bloc l’annexe unique.
M. Aillagon a déclaré qu’il va tout faire pour arranger dans un premier temps les problèmes des femmes enceintes, des congés maladies et des droits d’auteurs et droits voisins.
Le ministre recevra toutes les organisations une par une jusqu’au 19 avril. La coordination sera reçue en dernier.
(Un tour de parole s’ensuit) :
Laurent :
La CGC menace a présent de retirer sa signature de l’accord du 26 juin, ce qui prouve que tout le monde sort de l’inertie.
Stéphane :
On a l’impression d’un retour à la situation d’avant le 26 juin. Or, il faudra bien qu’il y ait des signataires pour re-signer un accord paritaire si jamais il le faut : quels syndicats re-signeraient un nouvel accord ? Peut-on imaginer que la CFDT signe sur une proposition de la coordination ? Peut-on imaginer d’avoir une autre majorité avec la CGT et FO qui signeraient sur les annexes 8 et 10 sans être signataires de l’accord général de l’UNEDIC ?
Samuel :
Rappelle que M.Aillagon s’est déclaré contre une loi qui fixerait une architecture aux négociations des partenaires sociaux et que à l’heure actuelle seule la CGT serait signataire d’un accord sur les bases du nouveau modèle. Le comité de suivi va rencontrer toutes les organisations syndicales et le but est de mettre le projet du nouveau protocole en avant, face au gouvernement, aux médias etc... sans préjuger de la forme que prendra la sortie de crise.
Stéphane :
Financement d’une partie du déficit des annexes 8 et 10 par l’état serait à sons sens souhaitable pour que le ministre puisse revenir de manière crédible dans la discussion.
Enrick (Paris-dissident) :
Que fait-on avec Aillagon ?
Est-il toujours personna non grata ?
Continue-t-on à mettre la pression sur lui pendant la campagne électorale ?
Dominique :
Après le rendez-vous de M.Aillagon avec Delphine (cameraman enceinte), son engagement auprès de l’UNEDIC n’a rien changé à la situation.
Lucile intervient et demande à ce que les chiffres du SYNDEAC soient diffusés.
Antoine :
Quelle sera l’issue formelle de la crise ?
Samuel :
M.Cerutti (directeur de cabinet de M.Aillagon), rappelle que le gouvernement n’a pas l’intention de remettre en cause l’accord général passé avec la CFDT sur l’assurance vieillesse, l’assurance maladie etc... pour régler la question des intermittents.
M.Aillagon cependant dit vouloir trouver une réponse à la crise. La CFDT et le MEDEF ont communiqué sur la réduction des abus qu’entraînerait l’application des accords du 26 juin, or les études prouvent que le protocole du 26 juin ne lutte en rien contre les abus mais que le nouveau modèle il répond.
Pour info, qui est Guillaume Cerutti :
Directeur du Cabinet de M.Aillagon
Né en 1966, ENA, inspecteur des Finances, ancien directeur général du Centre Pompidou (1996-2001)
http://www.culture.gouv.fr/culture/min/services.htm
Sylviane :
Évocation les élections prochaines à AUDIENS qui biaisent le jeu syndical pour le moment.
Enrich :
Propose d’inviter M.Aillagon un vendredi à 16 heures à une démonstration sur le nouveau modèle.
Il dit avoir lui-même avoir beaucoup de doutes sur ce nouveau modèle. Par exemple, la valeur du K.
Y aura-t-il de nouvelles discussions sur le nouveau modèle ou faut-il faire confiance ?
Samuel :
Remercie tous ceux qui ont voté la grève à Avignon l’été dernier. C’est un poids et un moyen de pression très clair. Aujourd’hui M.Aillagon a envie d’avoir la paix.
(un débat sur la grève s’engage. Il est décidé de le reprendre ultérieurement et de rester sur l’ordre du jour)
Catherine :
Deux temporalités se mettent en place : une à court terme dans le cadre du comité de suivi et une à moyen terme dans le cadre d’une renégociation générale de l’UNEDIC pour 2005.
Il faut travailler sur ces deux temporalités.
Tout gouvernement de droite comme de gauche aura intérêt à écouter les arguments de la CFDT, notamment sur l’élargissement de l’assiette (cf tribune dans Libération de ce jour de M.Chérèque).
Il faut réfléchir à une contre-offensive car ces échéances arriveront rapidement.
Bénédicte :
La grève et les tribunes comme les Césars ne sont pas incompatibles. Il faut savoir jouer sur tous les fronts et savoir alterner les moments de lutte et les moments de communication.
Elle revient sur les débats à l’intérieur de la coordination sur l’organisation des Césars. Elle rappelle que la décision d’action pour les Césars avait été votée en AG.
Momo :
Il faut assumer collectivement les actions. Il trouve dangereux de communiquer sur l’idée que ne nouveau modèle est plus économique que celui du 26 juin.
Il faut défendre l’idée que c’est un système plus juste et plus équitable. Il rappelle que les politiques nous utilisent autant que nous les utilisons. On doit garder le contrôle de nos revendications, stratégies et tactiques et surveiller le vocabulaire utilisé pour présenter le nouveau modèle.
Laurent :
Rappelle que la question des annexes 8 et 10 s’intègre dans une problématique générale de l’organisation du travail. Ce qui inquiète le gouvernement est une possible contamination à tout le champ social.
A cet égard, les vrais décisionnaires sont M. Fillon et M.Raffarin beaucoup plus que M.Aillagon.
Antoine :
Le nouveau modèle s’est construit sur la base d’un modèle d’indemnisation plus juste, pas dans le but de faire des économies. Il se trouve qu’il semble en faire : il ne faut pas se priver de cet argument même si ce n’est pas le plus fondamental.
La grande force du nouveau modèle est son hétérogénéité. L’acceptation de ce nouveau modèle par nos interlocuteurs n’implique-t-il pas la mise sur la table de la réforme globale de l’UNEDIC ?
Point suivant : compte-rendu du KO Social du 1er mars
Par Jeff :
Il y avait beaucoup d’organisations très différentes pour la première fois ensemble avec un essai d’une parole convergente. Il y aura des ricochets (dont la manifestation du 13). C’est peut-être le début de quelque chose. Le nouveau modèle peut être un exemple d’action pour les autres associations à faire des propositions concrètes.
Jérôme :
On avait pas pris en amont la mesure de ce que c’était. Nous étions trop peu nombreux dans le groupe de travail. C’est une autre manière d’occuper le terrain dont nous aurions pu nous emparer un peu plus.
Lucile :
Nous avons manqué de vigilance sur l’ampleur de l’affaire. Il y a eu des erreurs dans la communication (mauvaise lisibilité, récupération par le PS dans la presse...). Comme nous sommes appelés à organiser ce genre de manifestations (concert de soutien etc...), il importe d’y réfléchir.
Elle annonce lundi à 18 heures une réunion de bilan là-dessus avec les autres associations et en préalable, une réunion à 16 heures pour la coordination uniquement.
La proposition pour le KO social suivant est à Bourges pendant le printemps de Bourges.
Jean-Marie :
Il n’y a pas eu un défaut de mutualisation mais beaucoup de chantiers en cours en même temps.
On a pas pris la mesure. Le collectif doit permettre à chacun de se regarder soi-même.
Bravo à ceux qui ont organisé ce KO.
La soirée était plutôt réussie par rapport au public mais peut-être pas par rapport aux enjeux (rencontre des différentes associations entre elles). Sensation d’une séparation entre les artistes et les associations. Peut-être faudra-t-il dans l’avenir inventer une forme de rencontre différente.
Laurent :
Il n’y est pas allé. Son article présentant la CIP pour le journal du KO n’a pas été bien reproduit : manquait notamment les coordonnées de la CIP alors qu’elle était co-organisatrice du KO !
Il faudra veiller à ce genre de chose la prochaine fois.
Il regrette que « le blocage de la Société entreprise » (un de ses articles) n’ait pas été débattu.
Michel :
Pour éviter toute récupération, ne faut-il pas éviter le « no-logo » comme cela a été le cas ?
Enrich :
Avait écrit un texte sur la loi Laine sur internet qui n’a pas été débattu, n’a pas pu monter sur scène, n’a pas eu accès à la backstage.
Trouve que dans l’ensemble ça s’est bien passé.
Veut qu’on l’écoute quand il a quelque chose à dire.
Jeff :
Comment faire pour que le public qui se rend à ce type de manifestation s’intéresse réellement à ce qui est dit (au contenu militant), afin d’éviter de transformer ce type de rendez-vous en « supermarché du militantisme ». Il reconnaît qu’il y a eu des erreurs dans l’organisation.
Jeannot :
Il y avait beaucoup de monde, c’était bien. Beaucoup de jeunes gens qui avaient suffisamment d’argent pour se bourrer la gueule à 4,5 euros la bière.
Il trouve qu’il manquait d’informations militantes sur la scène. Il a peu apprécié la présence des services de sécurité.
(On passe à un autre sujet)
Luc :
Transmet le bonjour d’Agnès Jaoui (à qui il a porté un bouquet de fleurs de la part de la coordination) à la coordination.
(note de la secrétaire : à cet instant, sentiment diffus de jalousie générale de tous les hommes présents à l’égard de Luc)
Pierre :
Trouve que les problèmes qui ont pu survenir lors des dernières manifestations (Césars etc...), viennent du fait que les AG sont en retard sur la préparation de ces manifestations et qu’elles n’ont pas donné des directives en amont pour les groupes de travail.
La commission action a besoin de directives de l’AG pour les prochaines semaines.
Qu’est-il souhaitable de faire comme actions ? Qu’est-il néfaste ?
Exemples d’actions pouvant être mises en œuvre :
Sur la télévision : invasions, sabotages, négociations pour participer aux émissions
Dans les théâtres : tractages
Blocages de comédies musicales
Ça fait longtemps qu’on est pas allés dans une grande surface
Actions symboliques (occupation d’une régie finale de télévision, occuper une radio et garder l’antenne pendant une semaine)
Faire des actions pour les transports gratuits
En direction de François Fillon
Concrètement quoi faire et proposer dans les deux semaines à venir ?
(Il soumet ces questions à l’AG)
Il demande à ce que soit mandaté ceux qui seront dans les commissions action avec d’autres collectifs pour le 6, le 9 et le 13.
Sylviane :
Il faut mesurer les forces, écouter les propositions des autres associations, ne pas louper Cannes, et pour le reste, faire confiance à la commission action.
Laurent revient sur le concept du blocage de la société d’entreprise, et trouve nécessaire de proposer des actions qui peuvent être reprises par tous.
Il faut attaquer M.Fillon et être présents dans la campagne électorale car personne ne le fera à notre place.
En proposition : être présent régulièrement sur les lieux et entreprises qui emploient des précaires (ex : la Villette) pour instituer un contre-pouvoir.
Stéphane :
La question que pose Saison en lutte aux compagnies au travers des rendez-vous des lundis, vise notamment à savoir où en est chacun par rapport à l’application su protocole du 26 juin, afin de déduire de cette enquête des modalités d’actions pertinentes dans les théâtres et festivals.
Concernant la campagne électorale en Ile-de-France, il lui paraît nécessaire d’interroger M.Huchon sur l’avenir de THECIF.
Jérôme :
Trouve important de ne pas laisser M.Fillon tranquille.
Christophe :
Signale que Anne Hidalgo fait une réunion publique sur les intermittents le mercredi 10 mars à 18H30 à l’école Voltaire à Montreuil (M° Robespierre), 1 rue Paul Eluard. Il faudrait y aller.
(Autre sujet)
Pierre :
Soumet le texte d’un tract signé par la CIP IDF dénonçant l’hypocrisie de la CFDT sur la question du droit des femmes.
Le texte est adopté après retrait du paragraphe sur le comité de suivi qui s’avère hors sujet.
Point suivant : manifestation du 6 mars
A l’appel de plusieurs organisations de chômeurs.
(discussions sur cette manifestation et son organisation)
Manifestation du 9 mars :
Par Bruno :
Un texte commun ave les chercheurs a été rédigé.
Le 9 est le jour où les chefs de laboratoires déposeront leur démission administrative.
Une AG en huis clos aura lieu à l’Hôtel de Ville à 11 heures.
C’est l’occasion de faire un front commun.
Rendez-vous à 11H30 place de l’Hôtel de Ville.
Mandat est donné au groupe de travail pour organiser cette manifestation.
Manifestation du 13 mars :
Le 13 est la date de la fin de la trêve hivernale pur les expulsions.
Le DAL organise tous les ans une manifestation à cette date.
Ce 13 mars, beaucoup d’autres associations ont appelé à manifester.
(lecture est faite de l’appel)
L’assemblée générale vote la signature de cet appel.
Un rendez-vous est fixé lundi 8 à 14 heures pour un groupe de travail sur cette journée.
Jérôme rappelle que le 11 aura lieu la grève des médecins, le 12 celle des enseignants, toutes accompagnées de manifestations et qu’il faudra en profiter pour tracter pour le 13.
Dominique rappelle que quand le DAL appelait à manifester il y a quelques années, il n’y avait pas beaucoup d’intermittents pour les rejoindre et il se réjouit de la convergence des luttes.
Deux infos du fond de soutien :
Par Antoine :
La soirée de soutien à la CIP au CICP a ramené 2.290 euros.
La logistique annonce qu’il faut désormais un badge pour faire des photocopies à la mairie du 19è.
Antoine fait un bilan de la réunion de dimanche dernier sur le fond de soutien national (voir sur la liste intercom)
Le remboursement des consommables pour le film « Des avancées considérables » est voté.
La nouvelle charte de la liste intercom est voté après un léger amendement de l’AG.
la question d’installer la sculpture géante en forme de papillon (l’origine du monde) devant la CIP est posée et apparemment adoptée.
La séance est levée vers 23h30.